Fratènite Desalinyèn/

Fratènite Desalinyèn/

Èske ou konnen?

Même si dans cette maison, je suis sans repère,

La tristesse et ton absence y vont de paire.

Comme un écho sourd, une plainte amère,

Au creux de mon âme, une solitude austère.

Même si aujourd’hui, souvent, je me perds,

Dans le labyrinthe de mes souvenirs, je me terre.

Tes rires, tes regards, ton parfum de mer,

Sont autant de trésors que je voudrais déterrer.

Mais je sais désormais qu’on peut tout transformer,

En paradis perdu, en Eden à réinventer.

Avec un peu de douceur, d’amour et de volonté,

Chaque coin sombre de l’absence peut être illuminé.

Je n’attendrai pas le bonheur après la mort,

Je l’ai déjà vécu dans un corps à corps.

Enlaçant l’ombre de toi, dans un ballet de remords,

J’ai trouvé la chaleur, même dans la froideur du décor.

Le bonheur est féminin, je le sais sans accord,

Car je l’ai pris dans mes bras, avec l’amitié comme décor.

La tendresse des souvenirs, la douceur des accords,

Font de chaque absence, un rendez-vous à l’aurore.

Ainsi, même si dans cette maison, je suis sans repère,

Je sais que le bonheur n’est jamais solitaire.

Même si ton absence y va de paire,

L’amour, l’amitié, sont des phares dans la guerre.

Même si dans cette maison je suis sans repère,

La tristesse et ton absence y vont de pair.

Comme un écho sourd, une plainte amère,

Au creux de mon âme, une solitude austère.

Même si aujourd’hui, souvent, je me perds,

Dans le labyrinthe de mes souvenirs, je me terre.

Tes rires, tes regards, ton parfum de mer,

Sont autant de trésors que je voudrais déterrer.

Mais je sais désormais qu’on peut tout transformer,

En paradis perdu, en Eden à réinventer.

Avec un peu de douceur, d’amour et de volonté,

Chaque coin sombre de l’absence peut être illuminé.

Je n’attendrai pas le bonheur après la mort,

Je l’ai déjà vécu dans un corps à corps.

Enlaçant l’ombre de toi, dans un ballet de remords,

J’ai trouvé la chaleur, même dans la froideur du décor.

Le bonheur est féminin, je le sais sans accord,

Car je l’ai pris dans mes bras, avec l’amitié comme décor.

La tendresse des souvenirs, la douceur des accords,

Font de chaque absence, un rendez-vous à l’aurore.

Ainsi, même si dans cette maison, je suis sans repère,

Je sais que le bonheur n’est jamais solitaire.

Même si ton absence y va de pair,

L’amour, l’amitié, sont des phares dans la guerre.

Kafenwa/ 2023-09-04

Pòs ki trete menm sijè ya

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